Pour vous la suite de mon histoire, bonne lecture et tendresse et chocolat <3
Lorsque j’ai quitté la voyante je devais me mettre en route pour Astrub, je connaissais ou était cette ville car elle était réputé pour sa neutralité entre le conflit des deux grandes cités de notre monde, Bonta et Brakmar. Le problème c’est qu’elle était loin, le voyage allait me prendre un sacré bout de temps mais rien ne pouvait m’arrêter, enfin c’est ce que je pensais.
J’étais en train de me diriger vers la sortie du terrier quand j’ai flairé un truc pas net, une odeur transpiration du au stress mélangée à la joie de ce faire quelques kamas facile, les braconniers étaient toujours là, il avait du convaincre Arnold que j’avais de la valeur, maintenant ils voulaient ma peau, du moins ma fourrure car elle valait de quoi nourrir un iop pendant 6 mois. Par chance ils n’étaient pas bien malins, ils pensaient m’avoir simplement avec une cage et quelques noisettes à l’intérieur :
- Je me suis dis « Ils m’ont pris pour un Ecumouth ou quoi ? On se demande ou vont les fonds de l’éducation de nos jours, pas un pour rattraper l’autre ! »
- « Rajoute un peu de salade, je suis sur qu’elles aiment ça » dis un braconnier
- « C’est presque déprimant maintenant ils me prennent pour une tortue de Moon »
- « Va voir si il n’y a pas d’autre terrier, elle ne devait pas être seul » dis Arnold
- « enfin une remarque intelligente mais raté. Bon allez, à 3 j’y vais : 1 2 4 5 3 !!! »
Je courais à toute vitesse, tellement vite que le p’tit Arnold encore sous les effets de l’alcool de la veille ne m’a pas vu passé. C’est alors que mon périple commença. J’ai du affronter exclusivement le vent et le soleil car dans les plaines jusqu’à Astrub il pleut jamais, donc ce n’était pas trop difficile. Je me suis juste fait une petite frayeur dans les plaines des porkass, j’ai bien failli me faire empaler par une fourche et planté par des flèches plus d’une fois. Ces plaines s’étendait à perde de vue, aucun signe de vie végétale, le soleil de plomb cramait tout et il devait avoir bien du bien sécher quelques Blops un peu trop téméraire, on pouvait bien se reposer à l’ombre d’une de ces formations rocheuses pointues (on devait ces œuvres d’arts au craqueleurs des plaines, en effet pendant leur période de rute il devait se lancer ces pierres pointues dans la gueule et le gagnant avait le droit de procréer et de faire plein de petit craqueboule avec ça conjointe, si c’est pas mignon tout plein ça !!), mais même à l’ombre la chaleur étouffait vite mieux valait partir rapidement. Le plus drôle restait quand même les Porkass en eux même et plus particulièrement ceux qu’ils appelaient « Cavalier Porkass », un cochon qui chevauche un cochon (âmes sensibles s’abstenir), c’est plutôt drôle à voir mais ils sont assez dangereux, mieux vaut rester loin. C’est une espèce qui n’a besoin de personne, elle réussit à se suffire elle même (ce qui est plutôt étonnant pour des cochons), seulement ils aiment attaquer quiconque approche leur territoire, ça va du moskitos aux craqueleurs des plaines, après ils vous grillent et vous mangent, ça s’appel la sélection naturelle mais ils sont aussi très sales, à vrai dire je pense que le fond de la culotte de Maotai est plus propre qu’un Porkass mais ça va de soit. Les cavaliers étaient équipés d’un fléau et lorsqu’ils se dirigeaient vers vous à toute vitesse en le faisant tournoyer au-dessus sa tête signifiait rien de bon, mieux valait ne pas rester dans les parages, ils étaient généralement accompagnés d’un berger armé d’une fourche et d’un ou deux arbalétrier histoire d’être sûr d’avoir la main sur vous. Vous n’allez pas me croire mais je ne suis donc pas resté dans les parages.
Je continuais donc ma route tranquillement, j’étais plus très loin de mon objectif lorsque je vis au loin un troupeau de Bouftou et son berger (un féca). Ils allaient dans la bonne direction d’après ce que disais le panneau d’indication que je venais de voir. Je me suis donc approché furtivement et installé sur le dos d’un Bouftou, que j’ai soigneusement choisi, avec une bonne couche de laine bien moelleuse. Je me laissai emporter par mes pensées accompagnées du léger bercement provoqué par la marche du Bouftou. Je repensai à ma famille, cela faisais déjà 4 mois que je les avais quitté, je me demandais quand es que j’allais les revoir où si j’allais tout simplement les revoir un jour. Je ne puis m’empêcher de penser à ma quête des dofus, je ne savais pas par ou commencer et je devais trouver quelqu’un pour m’aider à Astrub. Quelques minutes plus tard les bercements et le vent chaud qui faisait vibrer mes moustaches ne tardèrent pas à me faire plonger dans un profond sommeil.
Cordialement
Thefouineofthefuture allias fouiny babe
Sujet: Astrub Trip maggle :P 
Jeu 8 Mai 2014 - 10:51
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